EN SOLO

11940

GLENAT

9782344013847

Rares sont les grimpeurs ou les alpinistes à ne pas avoir connu la tentation du solo. Quête desthétisme, plaisir du geste pur, sens du défi, folie de jeunesse, désespoir, pulsions suicidaires les ressorts ne manquent pas.« Pourquoi je nen fais pas ? Peut-être parce que je nai pas suffisamment de colère en moi ou que je nai pas assez de couilles. » Serait-ce le début dune explication ? Cest le... Lire la suite

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    Caractéristiques

    Descriptif

    Caractéristiques

    Date de parution 31/03/2016
    Editeur GLENAT
    Collection HOMMES ET MONTAGNES
    Type LIVRE
    Famille RECIT VOYAGE & AVENTURE
    Réf Cartothèque 11940
    Rayon LITTERATURE
    Largeur 14 cm
    Hauteur 22.5 cm
    Epaisseur 2.5 cm
    Poids 45.2 g
    Pays FRANCE
    Auteur CHAPPAZ
    Nombre de pages 334
    Département [65] Hautes-Pyrénées, [38] Isère, [64] Pyrénées-Atlantiques, [63] Puy-de-Dôme, [15] Cantal, [31] Haute-Garonne, [66] Pyrénées-Orientales, [09] Ariège, [73] Savoie, [74] Haute-Savoie, [05] Hautes-Alpes

    Descriptif

    Rares sont les grimpeurs ou les alpinistes à ne pas avoir connu la tentation du solo. Quête desthétisme, plaisir du geste pur, sens du défi, folie de jeunesse, désespoir, pulsions suicidaires les ressorts ne manquent pas.« Pourquoi je nen fais pas ? Peut-être parce que je nai pas suffisamment de colère en moi ou que je nai pas assez de couilles. » Serait-ce le début dune explication ? Cest le jeune alpiniste Christophe Dumarest, pour qui lengagement est une seconde nature, qui dit cela à propos de lalpinisme et de lescalade solitaires. Oui, pourquoi les solistes partent-ils seuls sattaquer à un sommet ou une nouvelle voie ? Pourquoi choisissent-ils de corser souvent leur face-à-face avec la montagne en partant en hiver sur un 8000 mètres, ou en solo intégral, sans aucune assurance ?On a tout dit deux : quils étaient des inconscients, des risque-tout, des déséquilibrés, des trompe-la-mort. Et si cétait tout le contraire ?Pour se faire une idée plus juste et mieux comprendre les motivations de ces artistes funambules de la verticale et de la vie, Gilles Chappaz est parti à leur rencontre, au travers de textes pour certains, dinterviews pour dautres ou en leur demandant de prendre la plume. Pas un ne met en avant les mêmes motivations, mais tous disent la même chose : le solo est la discipline ultime, celle qui permet le mieux de se trouver. Cest le « connais-toi toi-même » des alpinistes ! Walter Bonatti voulait aller « à la frontière infranchissable de son âme »  René Desmaison désirait « juste se retrouver seul avec soi-même »  Pierre Beghin parlait « dun morceau dexistence en dehors de sa propre vie »  Jean-Marc Boivin avait cette formule lapidaire : « Je veux vivre, vivre à en crever ! »  Patrick Edlinger disait ceci : « Le solo intégral, cest la vérité, le style le plus pur qui soit. Un jeu suicidaire ? Mais je tiens trop à la vie. Je nai pas du tout envie de mourir ».De Jacques Balmat à Ueli Steck, en passant par Tita Piaz, Paul Preuss, Hermann Buhl, Claudio Barbier, Reinhold Messner, Ivano Ghirardini, Renato Casarotto, Christophe Profit, ou encore Catherine Destivelle, les histoires de solistes nous offrent le portrait dune pratique au paroxysme de la grimpe. Il est question dengagement total, de choix de vie, dexaltation, de recherche spirituelle, de courage, de bravoure, de peur aussi.

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